La Marche Mondiale pour la Paix et la Non-Violence continue à rassembler et à éveiller les consciences

Le 2 novembre 2009, des actions pour la Marche Mondiale pour la Paix et la Non-Violence se déroulaient en République Tchèque. La journée a commencé par une conférence de presse importante qui a réuni Alena Gajdusova, première Vice-présidente du Sénat, Rafael de La Rubia, Président de l'organisation Monde Sans Guerres, qui organise la Marche à l'échelle mondiale, Otakar Mika, Expert en problèmes relatifs aux armes nucléaires, Dana Feminova, Porte-parole local de la Marche Mondiale, Jan Tamas, Président du Parti Humaniste Tchèque, et M. Tomas Tozizka, Coordinateur du Réseau mondial contre la pauvreté. Ils étaient tous d'accord pour souligner qu'il est important que tous les pays décident de réduire leurs armements et qu'ils attribuent de nouveaux rôles à leurs armées, dans le but de cesser l'investissement de ressources financières et humaines à des fins destructives, et à la place commencer à les diriger vers le développement humain.

Rafael de la Rubia, Porte-parole international de la Marche, a souligné qu'aujourd'hui, plus de 23 pays et des centaines de villes ont été traversés par les marcheurs, qui ont été accueillis à chaque fois par la population, les présidents et les parlements, et que cette tournée prônant la paix et la non-violence est devenue la plus importante jamais recensée dans l'histoire humaine

Plus tard dans la journée était organisée une action au Sénat, qui incluait la participation d'ambassadeurs et consuls de nombreux pays d'Europe et d'Amérique, notamment le Mexique, la Palestine, la Belgique, la Croatie, et le Portugal. Cette action était coordonnée par la Vice-présidente du Sénat Tchèque, la très honorable Madame Alena Gajdusova, et au cours de l'évènement, il a été demandé aux représentants diplomatiques de transmettre le message de paix, de non-violence et de désarmement progressif à leurs gouvernements respectifs. Rafael de La Rubia a profité de l'évènement pour souligner la présence d'un membre du Parlement du Costa Rica dans l'équipe de base de la Marche Mondiale, faisant remarquer qu'au cours des 60 dernières années, le Costa Rica a volontairement et unilatéralement choisi d'exister sans armée.

Dans l'après-midi, Rafael de La Rubia a pu rencontrer Pan Sdidla, Commissaire à la Commission du Parlement Européen pour les Affaires Sociales, où ils se sont rejoints sur la nécessité de réaliser les objectifs proposés par la Marche Mondiale, c'est-à-dire la réduction proportionnelle des armes, et la fin des investissements dans la guerre afin d'investir dans quelque chose de plus logique : la paix et le développement humain de tous les individus.